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 Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817)

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AuteurMessage
Solidarich'ti_jean-louis
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Solidarich'ti_jean-louis

Age : 69

Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817) Vide
MessageSujet: Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817)   Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817) Icon_minitimeLun 1 Nov - 9:28





Il est difficile de trouver des informations concernant directement le personnage ! mais comme vous allez le voir dans ce sujet , Il fût selon moi un acteur politique humain de notre histoire.
Ces informations étant glanées ici et là , parfois même dans le cache de Google , il est à pensé que bien que succincte , elles vous amèneront vers une autre vision et un autre chemin de recherche que vous pouvait bien entendu partager ici.


Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817).
Homme de lettres et Homme politique Secrétaire de l’Académie d’Arras (1785-1792),

Dubois de Fosseux crée un vaste réseau de correspondance de quelque 1 200 correspondants répartis dans la France.

De 1785 à 1791, il écrit environ 14 000 lettres !

Premier maire d’Arras en janvier 1790 (réélu en 1794), président du directoire du département du Pas-de-Calais de 1790 à 1792, il est victime en 1794 de l’arrêté de Saint-Just et Lebas contre les ci-devant nobles et est arrêté.

A sa libération en octobre 1794, il quitte Arras pour rejoindre Lazare Carnot à Paris.
Il occupe alors jusqu’en 1807 un poste au ministère de la guerre.

Dubois de Fosseux meurt à Paris le 28 décembre 1817.

Résidence d’hiver de Ferdinand Dubois de Fosseux et sa famille, l’hôtel de la rue du Marché-au-Filé devient un des hauts lieux de la vie littéraire et mondaine arrageoise.


Soixante questions posées aux municipalités

Les « soixante questions posées aux municipalités » ou « Questionnaire de 1790 » (composé de 60 articles) était le titre d'une sorte de sondage fait par le directoire vers les communes du Pas-de-Calais lancé en 1790 vers les communes des anciennes généralités d'Artois, Boulonnais et Calaisis devenaient département du Pas-de-Calais le 26 février 1790 (le 31 juillet 1790, l'administration départementale devait prendre en compte 930 communes).

Origine

Ce questionnaire a été lancé par Fernand Dubois de Fosseux en septembre 1790, quelques mois avant que dans les bourgs, villes et paroisses ou communautés de France, les hommes de plus de 25 ans payant l'équivalent de trois journées de travail en impôt élisent leur municipalité. .

Réponses

Selon le décompte de l'administration départementale, chaque commune a répondu à ce questionnaire.

Conservation

Les réponses à ces questions ont fait l'objet d'un recueil « Villes et Villages du Pas de Calais en 1790», conservé dans un document intitulé « Mémoire de la commission d'histoire et d'archéologie du Pas de Calais », Tome 26.
Toutes les réponses auraient du être versées à la série L des archives départementales, dans le fonds du Directoire, mais l'archiviste départemental se plaint en 1894 qu'il manque les liasses de certains districts Arras, Boulogne, Saint-Omer, Saint-Pol et une partie de celles des districts de Bapaume et Montreuil où manquent à cette époque 227 questionnaires) 1.
Elles sont le fruit de l'exploitation et du dépouillement des réponses au « Questionnaire de 1790 », commencé par le Chanoine Berthe vers le milieu des années 1850.

Anecdote :

L’HOTEL DUBOIS DE FOSSEUX

Construit en 1749, selon le modèle classique de l’époque, entre cour et jardin, c’est un bâtiment d’un étage,
surmonté de combles à la Mansard. Le corps principal, les deux ailes latérales et le porche qui ferme l’espace de la cour d’honneur présentent une exceptionnelle qualité architecturale.

Plusieurs fois modifié, il conserve certains éléments décoratifs remarquables notamment la façade centrale et le porche qui ont été inscrits à l’inventaire complémentaire des monuments historiques par un arrêté du 2 décembre 1946.

Le corps principal se distingue par deux doubles travées de fenêtres, surmontées de lucarnes et encadrant une travée centrale légèrement en saillie.
Celle-ci est occupée, au-dessus dela porte d’entrée par un grand balcon, soutenu par deux atlantes et portant un garde-corps de ferforgé remarquable.

Ce premier niveau est suivi d’un grand fronton, orné de putti et encadré de colonnes dont le chapiteau à feuillage abrite des bustes de femmes.
Les ailes latérales sont construites sur un autre rythme. Deux travées intermédiaires,en saillie, avec balcon à l’étage et surmontées d’une lucarne est suivie de deux travées centrales où, au rez-de-chaussée s’ouvrent de grandes arcades qui devaient, à l’origine, constituer les écuries et remises à carrosses.

L’ensemble est encadré de deux travées complètes, formées de fenêtres du côté du corps principal et recevant le corps du porche, du côté de la rue.

Chaque clef des baies du logis est ornée d’un visage tantôt de face tantôt tournée vers la droite ou la gauche. Ces ornements, en calcaire crayeux tendre, représentent un des plus beaux exemples du style rocaille qui caractérisa l’avènement de Louis XV.
Il s’agit d’un ensemble rare, d’autant plus remarquable que 40 ans séparent la construction de l’aile droite (1749) et celle du corps de logis central et de l’aile gauche (1789).

De 1741 à nos jours : le bâtiment change plusieurs fois de propriétaire Philippe Ferdinand Dubois de Hoves, seigneur de Fosseux (1662-1751) possède rue du Marché au Filé « une maison à porte cochère, cour, caves et héritages » comme il est spécifié à son contrat de mariage en 1741.

C’est dans ce logement qu’en 1744, lors du séjour de Louis XV à Arras, est logé le duc de Richelieu, premier gentilhomme de la Chambre du Roi.

Le 27 juillet 1749, Philippe Ferdinand Dubois de Fosseux achète la maison voisine, qui donne à la fois sur la rue du Marché au Filé et sur la petite rue du Mont de Piété.

Le 6 août suivant, il demande l’autorisation à l’échevinage d’édifier un hôtel ; la construction correspond à l’actuel corps de logis central et à son aile droite.

Il revient à son fils Ferdinand de parachever l’ensemble en obtenant, le 30 juin 1789 l’autorisation des commissaires aux ouvrages et de l’architecte de la ville pour faire élever, à la place d’une maison déjà acquise,sise rue Sainte-Croix et attenante à l’hôtel, une façade symétrique à celle fermant le côté droit dela cour d’honneur ; c’est l’actuelle aile gauche.


Installé à Paris depuis 1794, Ferdinand Dubois de Fosseux vend, le 16 germinal an X(1802), son hôtel d’Arras à Jean-Marie Harlé, receveur général des finances du Pas-de-Calais et déjà locataire du corps principal. La maison est alors vendue avec
« toutes ses boiseries, buffets,armoires, tapisseries de toutes espèces, tableaux au-dessus des portes et des cheminées et tous autres meubles, glaces, effets et autres objets attachés et garnissant lesdites deux demeures ».

L’hôtel ne reste pas longtemps dans la famille Harlé puisque le 9 juillet 1824, Charles Harlé,fils de Jean-Marie, le cède au vicomte Alexandre de Casa. Mais le bâtiment, attirant sans doute le monde financier, change à nouveau de propriétaire le 17 juin 1833.

Il est acquis par André Calluand, ancien receveur général des finances du Pas-de-Calais. Le 19 mai 1859, ce dernier le revend à son tour à Édouard Delétoille-Colin, négociant et gendre du maire d’Arras de l’époque.

La famille Delétoille habite l’hôtel jusqu’en 1914 ; une aile abrite le bureau etl’entrepôt pour leur fabrique de bonneterie.

Pendant les combats de la Première Guerre mondiale,le bâtiment sert de prison et subît d’importantes dégradations.

En 1925, la maison de la rue du Marché-au-Filet est vendue aux bénédictines du st Sacrement, communauté religieuse vouée à l’enseignement.

25 ans plus tard, elles revendent la plus grande partie au Bureau régional des Hypothèques de Lille et le reste pour une maison de repos destinée aux vieilles gouvernantes des prêtres du diocèse, la Maison St Joseph.

La chambre régionale des comptes du Nord-Pas-de-Calais s’y installe en 1987 après de lourds travaux de rénovation, puis en 2003, elle étend ses bureaux dans l’ancienne Maison St Joseph.

Une importante opération de conservation et de restauration des façades est réalisée de février 2009 à avril 2010, sous la direction de Monsieur Vincent Brunelle, architecte en chef des monuments historiques.

Pour l’essentiel, les travaux ont consisté au remplacement des lucarnes, à la réfection du fronton, des bandeaux, des clefs de sculpture, du balcon central, des ferronneries, au remplacement de pierres de façades, au nettoyage de la façade par microgommage et re jointoiement des pierres, la pose d’un badigeon…


Sujet encore en élaboration ,
il semblerait que plus d'informations seraient à glaner dans des livres , ou nous espérons y prélever quelques extraits relatifs à ce personnage !

À suivre donc ...


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Age : 69

Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817) Vide
MessageSujet: de la lecture !   Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817) Icon_minitimeJeu 30 Déc - 9:33




Bonjour,

Il n'est pas facile d'avoir de quoi étayer davantage la discussion à propos de Ferdinand Dubois de Fosseux, il y a bien entendu de nombreuses références dirigeant vers la lecture de livre et c'est bien l'avantage ici de vous donner le résultat de notre recherche :

voici donc quelques liens qui vous éviteront cette recherche.



Bonne lecture !













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Ferdinand Dubois de Fosseux (1742-1817)

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